Enfer en République démocratique du Congo


Dossier présenté par le Centre Primo Levi.

« Bien que la gravité de sa situation politique attire peu l’attention du public, la République démocratique du Congo (RDC) figure encore aujourd’hui parmi les principales nationalités des demandeurs d’asile en France et reste de loin le premier pays d’origine des patients du Centre Primo Levi. Nous avons donc décidé d’y consacrer un dossier, constitué d’un éclairage historique, d’un focus sur la demande d’asile congolaise, d’un article sur les particularités de la violence en RDC et du récit de vie de l’une de nos patientes. »

Lire le dossier sur le site primolevi.org

Un pays où la vie n’a aucun prix

« Depuis 1998, 5,4 millions de personnes ont péri en RDC, selon International rescue committee (IRC) : c’est le conflit le plus meurtrier depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale », indique le rapport Un monde tortionnaire 2010 de l’Acat. Retour sur les errements politiques de ces dernières décennies et sur leurs conséquences dramatiques. »

Tenter d’obtenir l’asile

« Après avoir figuré pendant plusieurs années parmi les deux premiers pays d’origine des personnes demandant l’asile en France, la République démocratique du Congo a été supplantée en 2015 par le Soudan et la Syrie. Toutefois, elle reste l’un des pays les plus représentés : près de 3 800 Congolais ont déposé une demande à l’Office français de Protection des Réfugiés et Apatrides en 2016, plaçant le pays au 6ème rang – après l’Albanie, le Soudan, l’Afghanistan, la Syrie et Haïti. »

Soigner l’indicible

« Depuis la création du Centre Primo Levi en 1995, les demandes de prise en charge de familles et de personnes isolées originaires de la République démocratique du Congo affluent continuellement, et ont même repris à la hausse depuis 2013, avec toujours une particularité : l’omniprésence du viol et de ses effets dévastateurs »

Mademoiselle C., histoire d’une remontée des enfers

« Après l’arrestation violente et les trois mois atroces d’emprisonnement qu’elle a subis, Mademoiselle C. semblait détruite à jamais. Il a fallu plus de deux ans de suivi par un psychologue, un médecin et un assistant social pour qu’elle reprenne progressivement vie. »

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