Blog Mediapart 21 Juin 2018
« L’officier de protection reçoit, lit, entend les récits des demandeurs d’asile. C’est à partir de leur récit oral qu’il décide de proposer un accord au statut de réfugié ou de les débouter. Comment cette décision est-elle prise ? La vérité du récit est-elle un élément déterminant ? »
Ce texte a été rédigé dans le cadre du colloque : « Violence et récit : recueillir, transcrire, transmettre, Les sciences humaines et sociales face aux récits de violence », 28-29 mai 2018, Université Paris Diderot.
Pourquoi il ne faut pas chercher la vérité des récits des demandeurs d’asile